Rapts parentaux - Autorité centrale belge pour les enlèvements internationaux d'enfants - Numéro d'urgence - Inclusion dans l'annuaire téléphonique - Objections éventuelles
Centre pour enfants disparus
séquestration de personnes
enfant
aide aux victimes
mariage mixte
4/8/2009 | Envoi question (Fin du délai de réponse: 3/9/2009) |
25/11/2009 | Dossier clôturé |
Réintroduite comme : question écrite 4-5654
Dans le cadre de rapts parentaux, notamment transfrontaliers, les parents raptés sont souvent extrêmement dépourvus quant aux premières démarches à effectuer.
La police, qui est le plus souvent le premier recours de ces parents, n'est souvent, elle aussi, pas formée ou informée pour ce type de situation concernant l'existence et le rôle de l'Autorité centrale, les implications européennes de tels dossiers, ni même ne possède une formation minimale concernant l'aspect psychologique des choses.
Or, il est certain que, comme dans toutes disparitions, les premières heures, les premiers jours, sont les plus importants si l'on veut déjouer le rapt.
Les associations d'enfants raptés, parents qui se sont donc trouvés un jour dans cette situation, souhaitent que le numéro de l'Autorité centrale belge pour les enlèvements internationaux d'enfant soit repris dans les numéros d'urgence de l'annuaire téléphonique.
L'honorable ministre peut-il m'indiquer s'il existe des objections à cette inclusion ? Si oui, sont-elles plus importantes que l'aide que l'inclusion de ce numéro pourrait apporter à de nombreux parents victimes de rapts parentaux ?